L’ancienne star de la Ligue 1 aurait pu rebondir à Strasbourg mais a préféré s’envoler pour l’Arabie Saoudite.

Jean-Michaël Seri aurait pu faire son retour en Ligue 1 l’été dernier. Après une carrière européenne en dents de scie, marquée par des passages remarqués à Nice et des expériences plus mitigées à Fulham, Bordeaux et Hull City, l’international ivoirien était en fin de contrat.
Strasbourg et Brest s’étaient renseignés pour le recruter en transfert libre, espérant bénéficier de son expérience et de ses qualités techniques pour renforcer leur milieu de terrain.
Mais malgré l’intérêt de ces clubs français, Seri a finalement choisi l’Arabie Saoudite, où Al-Orobah lui a proposé un contrat beaucoup plus intéressant financièrement.
Un salaire hors de portée des clubs français
Dans une interview accordée à Top Mercato, Jean-Michaël Seri a confirmé les contacts avec Strasbourg et Brest. “Il y a eu Strasbourg et Brest.
A Strasbourg , l’entraîneur Liam Rosenior a essayé de convaincre les dirigeants de me prendre, pour encadrer son effectif de jeunes joueurs. Mais ça a traîné, quand ils ont vu mon salaire, il y a eu beaucoup d’hésitations…”

“C’est pour ça que ça ne s’est pas fait. À Brest , l’entraîneur Éric Roy voulait m’emmener avec lui pour jouer la Ligue des champions et le championnat, pour apporter mon expérience au groupe. Mais je n’ai pas voulu”, confie-t-il.
Si le projet alsacien semblait l’intéresser davantage, la réalité économique a eu raison des ambitions du Racing, incapable de rivaliser avec les moyens de l’Arabie Saoudite.