Le Stade Brestois affronte le Real Madrid dans un match historique de Ligue des Champions tandis que l’entraîneur Éric Roy sème le doute sur son avenir.

GELSENKIRCHEN, GERMANY – JANUARY 22: Head Coach Eric Roy of Brest looks on before the UEFA Champions League 2024/25 League Phase MD7 match between FC Shakhtar Donetsk and Stade Brestois 29 at Arena AufSchalke on January 22, 2025 in Gelsenkirchen, Germany. (Photo by Jürgen Fromme – firo sportphoto/Getty Images)

Journée historique pour le Stade Brestois ! Ce mercredi soir, le club breton reçoit le Real Madrid à Guingamp pour la 8e et dernière journée de la première phase de la Ligue des Champions.

13ème au classement avec 13 points, le SB29 est déjà qualifié pour les barrages de la C1 mais peut néanmoins croire à une qualification directe pour les huitièmes de finale en cas de succès face à la Casa Blanca.

Présent en conférence de presse ce mardi, l’entraîneur brestois Éric Roy a évoqué ce match de gala face aux Madrilènes mais a également parlé de son avenir au club. Le Français a laissé planer le doute sur son avenir sur le banc brestois.

Tout est possible. Je peux renouveler, mais je peux aussi partir. Pour partir, il faut voir où aller. En dehors de Brest, il y a quatre ou cinq clubs en France qui peuvent gagner et m’intéresser. Mais dans les grands clubs, je ne vois pas Luis Enrique quitter le PSG. Même chose à Marseille (avec Roberto De Zerbi). A Brest, c’est difficile de gagner, on ne va pas gagner la Ligue des champions, ni la Ligue 1.

Si je pars, c’est pour prendre une équipe qui me permette de gagner et en France, il n’y en a pas beaucoup. A l’étranger, en Allemagne, c’est compliqué à cause de la langue. En Angleterre, j’ai joué et travaillé là-bas, idem en Espagne et en Italie. Les options du Qatar ou de l’Arabie Saoudite, c’est plus d’argent mais moins de projection sportive”. Le message est envoyé.

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